Arrivée sans encombre au alentours d'Arles, il est tôt, je décide tenter ma chance à travers la Camargue. Peu de voitures sur ces toutes petites routes, mais on m'emmène jusqu'à Port St Louis, puis un pécheur en route our son cabanon m'avance vers les marécages.
La route s'arrête pour laisser place à une immense étendue de sable avec seulement quelques pêcheurs et des cavaliers de temps en temps.
Il fait beau, c'est magnifique. Mais la marche sur le sable est difficile avec le poids du sac à dos. Je voulais voir le delta, l'endroit où l'eau douce rencontre l'eau salée, il parait que c'est suerbe.
Malheureusement, pour aller jusqu'au confluent du Rhône, il y a encore 5 Km à faire dans le sable, je renonce.
Sur la plage, je demande à un couple de me ramener vers la ville, 30 Km plus tard, je découvre Arles.... et les arlésiennes!
Mardi à Toulouse: ce matin en venant je ne voyais pas les pyrénées, ce petit cadeau matinal était noyé dans la brume.La journée avance et la ville devient grise. Les gens pressent le pas devant ma devanture à peine attirés par les lumières de Noël qui clignotent comme autant de clins d'oeil.
RépondreSupprimerParfois un sourire, un éclat de rire vient briser cette monotonie. C'est une journée de décembre un peu entre parenthèses avant ( peut-être) l'effervescence de la fin du mois......
Bonsoir Marie Coco ,
RépondreSupprimerArles est très jolie .
J'ai penser à toi car je suis aller boire un thé bien chaud aux saveurs des tropiques .
Je vois que ton périple ce passe bien !
Ici à Toulouse les gens sont un peu stressé à l'approche de Noël !!
Je pense bien à toi et continue à te suivre pendant ce grand voyage !!!
Bises .
Sylvie